...de l'arme de demain
Enfantée du monde
elle en sera la fin
Je veux vous parler de moi,
de vous
Je vois à l'intérieur
Des images, des couleurs
Qui ne sont pas a moi
qui parfois me font peur
Sensations qui peuvent
me rendre fou
Nos sens sont nos fils
nous pauvres marionnettes
Nos sens sont le chemin
qui mène droit a nos têtes

La bombe humaine
tu la tiens dans ta main
Tu as l'détonateur
Juste à cote du coeur
La bombe humaine
c'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un
prendre en main ton destin
C'est la fin, la fin

Téléphone, 1979


Quand j'ai pensé à écrire un billet ici, j'ai commencé dans ma tête par "je veux vous parler" et paf ! c'est ce texte qui est venu. Et ce qu'il y a d'intéressant, c'est que j'ai envie de parler de la version "optimiste" de cette chanson. En reprenant presque l'ensemble, quasiment mot-à-mot, mais avec un sens différent, le début correspond pile poil à ce que je suis en train de vivre et de travailler.

Ca part d'un livre que j'ai lu en 2003, puis mis de côté, puis ressorti il y a peu de temps pour diverses raisons. J'ai acheté la suite, je suis en train de poursuivre ma lecture et mon étude, surtout personnelle pour le moment mais pas seulement. C'est pour cette raison que j'ai envie de partager cela.

Le livre en question c'est "La prophétie des Andes" de James Redfield, suivi de la 10e prophétie, puis la 11e, puis d'autres livres du même auteur qui sont des sortes de manuels pour comprendre mieux les enseignements et tenter de les appliquer au quotidien. Très pratique et très pragmatique, pas religieux mais spirituel, ça me va bien !

Je vais laisser un peu de suspens pour le moment, pour la lecture "optimiste" et spirituelle du texte de Téléphone. Aussi parce que j'ai besoin d'un peu de temps pour assimiler les enseignements et pouvoir en parler sans écrire trop de bétises.

Alors à très bientôt. La prochaine fois, si tout va bien, il sera question d'identifier ses propres mécanismes de domination (chez les autres aussi, c'est plus facile et ça peut même être ludique) pour casser ce cercle vicieux du "je te pique ton énergie, tu me piques mon énergie, on est bien fatigués et frustrés, quand cela va-t-il finir ? et comment ? aussi".

Voilà !

Poutoux !